Quelle Parole de Dieu aujourd'hui pour les enfants et la famille ...

 

LE COUPLE

 

FAMILLE ET TRAVAIL

1. LE TRA V AIL, UNE NÉCESSITÉ, UNE CHANCE :

2. L'HOMME MODERNE PEUT S'INSTALLER DANS UN RAPPORT ABSOLU AVEC SA VIE PROFESSIONNELLE

3. LA JUSTE PLACE DU TRAVAIL

 

FAMILLE ET LOISIRS

 

LA RELATION PARENTS - ENfANTS

1- A propos de ce que nous voulons transmettre d'essentiel :

2- À propos des attitudes fondamentales quipermettent à l'enfant de faire siennes ces valeurs :

"RÔLE DES GRANDS-PARENTS

 

LES CÉLIBATAIRES: UNE CHANCE POUR NOS FAMILLES ?

 

FAMILLE ET TRANSMISSION DE lÀ FOI

 

LA FOI EST DON DE DIEU

 

GRANDIR EN FAMILLE DANS LA CONFIANCE ET LA LIBERTÉ:

 

FAMILLE ET CONFLITS

COMPRENDRE ET PRÉVENIR LES CONFliTS

VIVRE LE CONFLIT

LES CRISES NORMALES DE LA VIE :

LES ÉVÉNEMENTS NON OBLIGATOIRES :

PARDONNER ET DEMANDER PARDON : "

 

 

annee.famille@wanadoo.fr

 

LE COUPLE

"Je te reçois comme épouse -époux- et je me donne à toi pour t'aimer fidèlement tout au long de notre vie "

(rituel du mariage}

 

L'organisation de la famille s'est profondément modifiée.

Autrefois, seul le mariage amenait à un lien d'Alliance.

Aujourd'hui, se forment des couples non mariés (concubinage, P ACS... )

Les transformations du lien d'Alliance amènent à redéfinir les liens de filiation (filiation hors ou après mariage).

Un enfant peut avoir plusieurs parents (père, mère, beau-père, belle-mère, père adoptif, mère biologique, mère utérine... ). Et pourtant, à ceci, nous pouvons ajouter que le nombre de mariages à l'Église demeure important et que la majorité des couples ne divorcent pas.

Alors, dans un contexte social en mouvement, que représente le mariage chrétien ?

Quelles sont les étapes de la formation d'un couple ?

Que faire de ces mots: décision, promesse, engagement, attente, don, alliance ?

Pour toujours ?

 

... donc ce que Dieu a uni, que l'homme ne le sépare pas"  (MclO, 6-9)

 

Quelle est la différence entre " cohabitation " et mariage ?

Pourquoi choisir le mariage ?

Quelle est la signification du mariage ? En a-t-il encore une ? Est-ce possible de s'unir pour la vie ?

Comment s'inscrire dans la durée ?

 

Le(s) secret(s) du bonheur

 

L'amour prend patience; l'amour rend service; l'amour ne jalouse pas; il ne se vante pas, ne se gonfle pas d' orgueil; il ne fait rien de malhonnête; il ne cherche pas son intérêt; il ne s 'emporte pas ; il n'entretient pas de rancune, il ne se réjouit pas de ce qui est mal ; mais il trouve sa joie dans ce qui est vrai; il supporte tout, il fait conflance en tout, il espère tout, il endure tout. L'amour ne passera jamais". (ICor. 13,1-8)

 

L'amour est exigeant !!!

 

Comment dépasser l'idée romantique du mariage ?

Que faire de ce rêve du couple idéal ? D'un(e) époux(se) idéal(e) ?

Comment dépasser les moments de crises ?

Comment vivre nos affrontements ? Nos doutes ? Nos tentations et déceptions ?

Comment accepter les défauts de l'autre (au même titre que ses qualités) ?

Pouvons-nous vivre nos crises sans les assimiler à un échec ?

Nos crises peuvent- elles être passages entre un équilibre ancien et un équilibre nouveau ?

 

Pouvons-nous accepter la distance qui nous sépare de l'autre et sa différence ?

Est-ce que nous acceptons de nous parler ? Comment dépasser nos difficultés de communication ?

Comment résolvons-nous nos divergences d'opinions et de religions (éducation des enfants) argent... ) ?

 

Est-ce que nous vivons le pardon ?

Pouvons-nous rester des compagnons de route quand la vie change ? (retraite, maladie, chômage ...) ?

 

Nous sommes appelés à la joie

Comment faire la joie de son conjoint ? Quel itinéraire suivre pour trouver la joie ?

Cherchons le chemin que nous montre le Christ.

 

...Que votre lumière brille devant les hommes, alors, en voyant ce que vous faites de bien, ils rendront gloire à votre Père qui est aux cieux ". (Matt.5,13-16)

 

"La famille est le centre et le coeur de la civilisation de l’Amour " {J.P.II, Lettre aux familles 1994)

 

Comment définir l'unité du couple ? Comment la construire ?

Comment s'ouvrir à un amour plus large fondé sur l'amour du Christ à son Père ?

Comment par l'unité du couple travailler à l'unité des hommes ?

 

Une Alliance plus merveilleuse encore.

 

"Maris, aimez vos femmes comme le Christ a aimé l'Église; il s'est livré pour elle, afin de la sanctifiant,

en la purifiant par le bain d'eau qu'une parole accompagne" (Eph. 5, 25-26)

 

Qu'est-ce que le sacrement apporte à l'amour ?

Avons-nous conscience que le sacrement reçu un jour doit s'étendre à toute la vie du couple ? Comment ?

Quelle est la mission du couple ?

Qu'apprenons-nous en construisant notre couple, sur nous-même, sur l'autre, sur le monde ?

Quelle place pour la prière ?

Quelle participation voulons nous offrir à l' Oeuvre de Dieu ?

pour la méditation :

~ Tobie, 8,4 à9

 

(HAUT DE PAGE)

FAMILLE ET TRAVAIL

1. LE TRA V AIL, UNE NÉCESSITÉ, UNE CHANCE :

-Avons-nous un travail pour élever notre famille ?

-Nos enfants qui grandissent trouveront-ils du travail?

-Sommes-nous heureux dans notre travail ?

-Cela fait plusieurs mois qu'il(elle) cherche du travail...

-Ils déménagent à cause de son travail...

Nous mesurons au quotidien combien le travail est important et indispensable à l'équilibre de notre vie.

L'absence de travail dans une famille est souvent une source de profondes difficultés.

C'est dans sa relation à Dieu et au monde que l'homme inscrit l'aventure et la peine du travail:

"Remplissez la terre et dominez-là " (Gen.1,28).

"Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front". (Gen. 3,19).

"Si un homme mange, boit et trouve le bonheur dans son travail, cela est un don de Dieu Il (Ecc.3, 13).

 

L'homme construit et se construit par son travail.

-Avons-nous conscience de participer à l'Oeuvre de la création ?

-Savons-nous trouver, donner un sens, à notre travail?

-Pouvons-nous être des témoins dans notre travail ?

 

2. L'HOMME MODERNE PEUT S'INSTALLER DANS UN RAPPORT ABSOLU AVEC SA VIE PROFESSIONNELLE

 

Sans travail, nous éprouvons un sentiment d'inutilité et pouvons être plongés dans la précarité: pas de logement,

pas de Sécurité Sociale, pas de statut social, pas d'intégration...

A l' inverse le travail peut être idolâtré en devenant le centre absolu de la vie. C'est là un risque de déséquilibre.

 

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3. LA JUSTE PLACE DU TRAVAIL

 

Comment gérer le rapport très prenant de l'homme et son travail avec une vie de famille ?

-Savons-nous rester disponible à nos enfants ?

-Comment, quand chaque membre du couple travaille, rester présent l'un à l'autre ?

-Ne suis-je que la fonction que j'occupe ?

-Pourquoi nos actes n ' auraient-ils de valeur que lorsqu'ils sont professionnels ?

-Quelle valeur accordons-nous à: la présence à notre conjoint, à nos parents, à nos enfants, la vie

associative, la vie paroissiale, l'entretien des relations de voisinage, le temps et l'écoute de nos amis, les

temps de solitude...

pour la méditation :

- Le livre de l'Ecclésiaste, qui laisse à Dieu de résoudre la tension entre le travail et le désir d'éternité.

- Lettre Apostolique de Jean-Paul II sur la sanctification du dimanche (1998)

 

FAMILLE ET LOISIRS

 

"Et au septième jour Il chôma. après tout l'ouvrage qu'il avait fait.

Dieu bénit le septième jour et le sanctifta... Il (Gen. 2, 2 et 3)

"Pendant six jours tu travailleras. et tu feras tout ton ouvrage, mais le septième jour est un repos pour le Seigneur ton Dieu. Tu n 'y feras aucun ouvrage... Il (Ex. 20,9 et 10)

 

Qu'avons-nous fait de ce septième jour ?

Temps de repos hebdomadaire, temps libre, temps de loisirs...

Les avancées sociales ont augmenté le temps libre: congés payés, R TT, horaires aménagés; retraite.

Et notre espérance de vie s'allonge...

pourtant, paraît-il, le temps nous manque!

 

Regardons le Christ, il accueille, et offre son temps pour ceux qui viennent à lui et ceux vers qui il choisit d'aller.

Il laisse venir à lui les enfants... il se retire seul dans la montagne pour prier... il rencontre ses amis Lazare, Marthe et Marie... il va à des noces avec Marie sa mère...

Quelle est ma disponibilité ?

 

En couple :

-suis-je capable de m'effacer pour permettre à l'autre de s'exprimer, ou pour répondre à son besoin d'un

temps d'échange ?

-Puis-je accueillir les goûts et les attentes de mon conjoint ?

 

Avec les enfants :

-Est-ce que je ne les "sur-occupe" pas trop (sport, musique... )

-Est-ce que je prends le temps de la détente, du jeu et de l'écoute avec eux ?

-Est-ce que je respecte le mystère de chacun d'eux ?

-Est-ce que je leur fais réellement une place ?

 

Avec nous-même :

-Quel temps pour le loisir, le ressourcement spirituel, les lectures, la prière...

 

Avec les autres :

-Mon temps de loisir est aussi à partager avec des amis, des parents âgés, des personnes isolées...

Pour la méditation :

- Saint Bernard :  "Tes occupations, je ne te demande pas de les rompre, mais simplement de les interrompre...

Puisque tous les autres profitent de toi, profite donc toi aussi de toi.même.

Pourquoi serais-tu le seul à être privé de cette faveur ?

Rappelle-toi donc, je ne dis pas toujours, je ne dis même pas souvent, mais au moins de temps en temps,

que tu te dois aussi à toi-même. Est-ce vraiment trop te demander ?

 

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LA RELATION PARENTS - ENfANTS

 

-Quelles joies nous apportent nos enfants (ou ceux dont nous nous occupons) ?

-Quels problèmes rencontrons-nous avec eux ?

 

Le groupe devra, après un premier échange spontané, chercher à sérier les problèmes (matériels, affectifs, idéal trop élevé que l'on cherche à suivre, vouloir reproduire le modèle de ses propres parents, etc.)

-Qu'aimerions-nous transmettre d'essentiel aux enfants en tant que parents ou éducateurs: valeurs,

attitude devant la vie, relation aux autres, connaissances, Foi ?

-Comment essayons-nous d'y parvenir ?

-Quelles réussites (et pourquoi) ?

-Quels échecs momentanés ou apparents (et pourquoi) ?

Quelles pistes, quels repères l'Écriture nous offre-t-elle aujourd'hui ?

 

En pensant à notre relation avec les enfants, y a-t-il un ou plusieurs passages de la Bible qui nous viennent à l'esprit ?

Quels aspects de cette relation nous permettent-ils de cerner ?

 

1- A propos de ce que nous voulons transmettre d'essentiel :

 

L'amour :

 

Osée 11 : « Quand Israël était enfant, je l'ai aimé (.. )

j'apprenais à marcher à Ephraïm, je le prenais dans mes bras, et ils n'ont pas compris que je prenais soin d'eux. Je les menais avec des attaches humaines, avec des liens d'amour; j'étais pour eux comme ceux qui élèvent un nourrisson tout contre leur joue, je me penchais sur eux et leur donnais à manger »,

 

Jérémie 31, 20 :  «  Ephraïm est-il donc pour moi un fus si cher, un enfant tellement préféré pour qu'après chacune de mes menaces, je doive toujours penser à lui et que mes entrailles s'émeuvent pour lui, que pour lui déborde ma tendresse ? »

 

Isaïe 49, 15-16; « Une femme oublie-t-elle son nourrisson, oublie-t-elle de montrer sa tendresse à l'enfant de sa chair ? Même s'il s'en trouvait une pour l'oublier, moi je ne l'oublierai jamais ? »

 

C'est à l'image du Dieu Père qui nous aime et à l'exemple de son Fils que nous aimons les enfants et leur apprenons à aimer les autres.

 

La grandeur des enfants de Dieu :

 

Première Epître de Jean, 3, 1-2; 4, 12 « Voyez quel grand amour nous a donné le Père pour que nous soyons appelés enfants de Dieu, car nous le sommes, Dieu, personne ne l'a jamais contemplé; si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous, en nous son amour est accompli ».

 

La confiance en Dieu :

 

« N'ayez pas peur! » (Matthieu 17, 7, après la transfiguration; Jean 6, 20, après la tempête apaisée}.

 

La joie :

 

Isaïe 61,10: « J'exulte de joie dans le Seigneur et mon âme se réjouit en mon Dieu. Car il m' a revêtu du vêtement du salut. Il m 'a drapé dans le manteau de son amour ».

 

Des repères forts sous forme de règle :

 

Les « Dix Commandements» (Exode 20 –Deutéronome 5,6-22);

les Béatitudes {Luc 6, 20-23; Matthieu 5,1-11)

et le commentaire qu'en fait saint Paul (Epître aux Romains 13, 10).

 

Pourquoi ces règles ? Quels sens ont-elles exactement ?

Qu'apportent-elles à la société et à chacun de ses membres ?

 

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2- À propos des attitudes fondamentales quipermettent à l'enfant de faire siennes ces valeurs :

 

Le respect de l'enfant :

 

Paul, Ephésiens 6, 1-4: « Parents, n'exaspérez pas vos enfants) mais pour les élever, ayez recours à la discipline et

aux conseils qui viennent du Seigneur »

le livre des Proverbes 3, 11-12, : « Ne rejette pas, mon fils, l'éducation du Seigneur et ne te lasse pas de ses avis,

car le Seigneur réprimande celui qu'il aime tout comme le père le fils qu'il chérit ».

 

L'acceptation de l'enfant comme autre et l'expérimentation de la liberté :

 

Le « sacrifice d'Abraham ) (Gen. 22).

Le « fils prodigue » (Luc 15, 11-32).

Jésus parmi les docteurs du Temple (Luc 2, 41-49)... à lire avec les v. 50-51, « mais eux ne comprirent pas la parole

qu'il venait de leur dire. Il redescendit avec eux et revint à Nazareth, et il leur était soumis. Et sa mère gardait fidèlement

tous ces souvenirs dans son coeur ».

 

A partir de ces textes, nous pouvons nous poser les questions suivantes :

 

-Est-ce que j'accepte l'éloignement de l'enfant sous toutes les formes qu'il puisse prendre, éloignement qui, seul, autorise et fait advenir l'autre ?

-Comment se manifeste cet éloignement (différence de goûts, de choix de vie, de choix politiques... ) ?

Y a-t-il des options que j'ai beaucoup de mal à accepter ? Pourquoi ?

-Cet éloignement est-il vécu comme un échec de l'éducation donnée ? Un échec de l'amour ? Est-ce bien cela en réalité ?

-L'enfant me « doit-il » quelque chose ? Si oui, que me doit-il au juste ?

 

L'acceptation des conflits avec tes enfants :

 

-Le souci de s'affirmer différent qu'a l'enfant est-il vécu par moi comme une agression ? Pourquoi ?

-Est-ce que respect veut dire « obéissance » ou « conformation » ?

-Comment est-ce que je vis les ruptures du lien de dépendance ?

-Est-ce que je sais ne pas culpabiliser l'enfant lorsqu'il me semble patauger dans ses tentatives pour devenir

lui-même ? L'indifférence affichée «Je ne m'en occupe pas, je te laisse entièrement libre ») est-elle l'attitude la plus constructive ? Et si nous interrogions les enfants ? ils ont sûrement quelque chose à nous dire...

'Pour la méditation

- Luc 2, 39 à 52

 

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"RÔLE DES GRANDS-PARENTS

 

Des disponibilités nouvelles

 

La moitié des nouveaux-né ont au moins un couple de grands-parents vivants.

L’allongement de la durée de vie et les conditions familiales actuelles offre aux grands-parents des possibilités nouvelles.

Davantage de temps libres, moins de tension, moins de responsabilités éducatives, une vision différente de celle

des parents...

 

Que faisons-nous de ces disponibilités ?

-Nous permettent-elles de contribuer à l'épanouissement de nos petits-enfants, sans prendre

la place de leurs parents ?

-Participons-nous à l'éveil à la foi de nos petits-enfants en respectant les choix de leurs parents ?

-Comment comprendre et accepter les modes de vie des uns et des autres, malgré les fossés séparant les

générations ?

-Essayons-nous d'expliquer ce qui choque dans certains comportements ? Essayons-nous de les modifier, ou fermons-nous les yeux ?

-Que cherchons-nous à transmettre à nos petits-enfants: nos souvenirs, notre jeunesse, celle de leurs parents, l'histoire des générations précédentes, leur faisons-nous connaître leurs racines, ou autre chose ?

 

-Les couples de grands-parents peuvent aussi vivre des orages ou des tempêtes. Savons-nous ne pas y mêler

nos enfants et petits-enfants, ne pas les impliquer ?

 

pour la méditation

 

"L'Amour ne vieillit pas" (Charles Ramuz)

Viens te mettre à côté de moi sur le banc devant la maison, femme, c'est bien ton droit;

il va y avoir quarante ans qu'on est ensemble.

Ce soir, et puisqu'il fait beau, et c'est aussi le soir de notre vie :

tu as bien mérité, vois-tu, un petit moment de repos.

 

Voilà les enfants à cette heure sont casés, ils s'en sont allés par le monde, et de nouveau, on est rien que tous les deux, comme on a commencé.

Femme, tu te souviens ? On n'avait rien pour commencer, tout était à faire.

Et on s'y est mis, mais c'est dur. Il faut du courage, de la persévérance.

Il faut de l'amour, et l'amour n'est pas ce qu'on croit quand on commence.

Ce n'est pas seulement ces baisers qu'on échange, ces petits mots qu'on se glisse à l'oreille, ou bien se tenir serrés l'un contre l'autre ; le temps de la vie est long, le jour des noces n'est qu'un jour.

C'est ensuite, tu te rappelles, c'est seulement ensuite qu'à commencé la vie.

Il faut faire, c'est défait; il faut refaire et c'est encore défait.

Les enfants viennent, il faut les nourrir, les habiller, les élever, ça n'en finit plus; il arrive aussi qu'ils soient malades ,. tu étais

debout toute la nuit; moi, je travaillais du matin au soir.

Il y a des fois qu'on désespère; et les années se suivent et on n'avance pas et il semble qu'on revient en arrière.

 

Tu te souviens femme, ou quoi ?

Tous ces soucis, tous ces tracas: seulement tu as été là.

On est resté fidèles l'un à l'autre.

Et, ainsi j'ai pu m'appuyer sur toi, et toi tu t'appuyais sur moi.

On a eu de la chance d'être ensemble, on s'est mis tous les deux à la tâche, on a duré, on a tenu le coup.

Le vrai amour, n'est pas ce qu'on croit. Le vrai amour n'est pas d'un jour mais de toujours. C'est de s'aider! de se comprendre.

Et, peu à peu on voit que tout s'arrange. Les enfants sont devenus grands. Ils ont bien tourné.

On leur avait donné l'exemple. On a consolidé les assises de la maison.

Que toutes les maisons du pays soient solides, et le pays sera solide, lui aussi.

C'est pourquoi, mets-toi à côté de moi et puis regarde, car c'est le temps de la récolte et le temps des engrangements. Quand il fait rose comme ce soir, et une poussière rose monte, partout entre les arbres.

Mets-toi tout contre moi, on ne parlera pas: on n 'a plus besoin de rien se dire.

On n 'a besoin que d'être ensemble encore une fois, et de laisser venir la nuit dans le contentement de la tâche accomplie.

 

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LES CÉLIBATAIRES: UNE CHANCE POUR NOS FAMILLES ?

 

"Le Seigneur dit: "il n lest pas bon que l'homme soit seul, Il faut que je lui fasse une aide qui lui soit assortie ", (Gen.2,18)

 

Les chemins de la vie sont inattendus et parfois, malgré un vif désir de se marier, les célibataires -qui ne l'ont pas choisi- ne voient pas leurs voeux exaucés.

Jean-Paul II rappelait lors de la rencontre avec les familles, le 20 septembre 1996 à sainte Anne d'Auray, "qu'il n'oubliait pas ceux qui vivent dans la solitude parce qu'ils n'ont pas pu réaliser un projet conjugal " .

Il est hautement signifiant que le Saint-Père ait parlé d'eux en ce sanctuaire dédié aux familles.

En effet, si le célibataire est en attente de fonder une famille, son existence ne trouve-t-elle pas une partie de son

sens au coeur de la famille dont il provient ?

N'a-t-il pas un rôle à jouer, et d'abord une place à trouver, parmi ses parents, ses frères et soeurs, ses neveux et nièces, sans oublier cette famille spirituelle que constituent les filleuls et filleules?

Ces moments de partage ne seraient-ils pas l'occasion pour le célibataire de se mettre en attitude de don, de service, de disponibilité pour les membres de sa famille ?

Plus encore, le célibataire n’ a-t-il pas un rôle spécifique, unique à tenir ? Dans la relation avec les parents, l'enfant encore célibataire peut avoir une liberté de parole qui lui permet de faire le lien entre les différents frères et soeurs et les parents; il peut aussi être celui qui ose nommer les difficultés qui se sont installées entre certains membres de la famille.

L'oncle ou la tante célibataire jouit d'une relation particulière avec son neveu ou sa nièce. Cette relation peut être l'occasion d'un partage très différent de celui que l'enfant vit avec ses parents, surtout arrivé à l'adolescence.

Cet oncle ou cette tante célibataire, à la fois différent des parents et partie de la famille, permet une heureuse transition vers le monde étranger. Plus libre, le jeune nouera une relation plus facile, voire plus profonde, en tout cas moins passionnelle. En fait, le célibataire recevra plus qu’il ne donnera à son neveu ou sa nièce: dans cette rencontre et ce  partage chacun d'entre eux ne soupçonne pas le bien qu'il peut faire à l'autre. il appartient au célibataire de voir dans sa famille soit ce qui lui manque et qui le fait souffrir t soit une possibilité de vivre, dans la joie de la communion, une certaine fécondité dans l'humilité et l' espérance.

Cette attitude intérieure d'ouverture est difficile.

Elle requiert de l'écoute et une sortie de soi. Elle ne se fera que si, dès le matin, le célibataire place le Seigneur au coeur

de sa vie: "Mon Dieu je veux faire ce qu'il te plait" (Ps 40).

 

La solitude du célibataire qui se met en face du Seigneur, lui permet d'approfondir sa vie intérieure.

La prière est l'occasion d'une véritable rencontre: "Je la conduirai au désert et je parlerai à son coeur" (Osée, 2t16).

 

Cette présence de Dieu ouvre une communion avec les autres.

"Dieu nous veut libre pour aimer" .

Dieu nous a donné la liberté pour que nous aimions: à commencer par les personnes qui nous sont les plus proches et que, trop proches, nous avons parfois tendance à oublier. Après tout, on se marie pour se donner à son conjoint: or, on ne se

prépare jamais mieux au don qu'en commençant déjà maintenant à donner .

 

pour la méditation :

"Sois vrai devant Dieu, toujours et en tout si tu récites le Notre Père, prononce chaque mot avec sincérité, avec respect,

fixant sur Dieu seul ton esprit et ton coeur, ne faisant attention à rien ni à personne autour de toi.

Si tu dis une autre prière, dis la également de tout ton être de ton âme, d'un coeur sans partage, sans faire attention à rien ni à personne.

 

L'ennemi de notre salut essaie tout spécialement, lorsque nous nous mettons à la prière, d'éloigner de Dieu notre esprit et notre coeur, de les prostituer à des incongruités. Sois toujours avec Dieu, à tout instant, et surtout quand tu pries.

A cette heure-là, sois particulièrement loyal et fidèle.

Si tu es volage, tu trahis la vie et tu te jettes dans les bras de la tristesse et de l 'angoisse.

"Ma vie en Christ" (Jean de Cronstadt)

 

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FAMILLE ET TRANSMISSION DE LA FOI

 

"La foi est don de Dieu, décision de liberté, réponse à l'appel personnel de Dieu...

Elle ne se réduit pas à un savoir. Elle ne s'impose pas par la seule force objective des démonstrations et des vérifications, car elle ne cesse de requérir l'assentiment de la liberté." (La transmission de la foi- Joseph Moingt).

 

Dans un passé récent, la foi faisait partie de l'héritage culturel, la transmission de la foi s'opérait d'une façon quasi automatique, les mécanismes de cette transmission étant d'ailleurs intégrés aux fonctionnements normaux de la

Société..

Aujourd'hui, la situation nouvelle de l'Eglise dans la société laïque, les catholiques sont passés d'une situation majoritaire à une situation minoritaire ; Le pluralisme religieux fait que les jeunes générations ne peuvent se contenter d'endosser passivement un héritage. L'exigence d'une appropriation personnelle est devenue impérative.

La famille, première cellule de la société, n'a pas seulement une fonction à l'égard de la société, elle a aussi une mission ecclésiale. Au coeur de la famille, l'enfant découvre qu'il est enfant de Dieu. Il y reçoit sa première initiation à la foi chrétienne. C'est le lieu où pourra s'éveiller sa liberté intérieure.

 

LA FOI EST DON DE DIEU

 

Accueillir le don de Dieu dans notre famille:

 

Dans une famille, chaque membre est enfant de Dieu, profondément aimé de Dieu.

-Est-ce que nous prenons le temps

de regarder la famille que nous formons, de nous découvrir et de nous accueillir différents les uns des autres?

de contempler l'Esprit de Dieu à l'Oeuvre au milieu de nous?

L'enfant a besoin de sécurité, d'un lieu où il peut grandir en se sentant accepté, aimé gratuitement et inconditionnellement .

 

-Louons le Seigneur pour notre famille et chacun de ses membres.

 

Communiquer notre foi:

 

Ce n’est pas d'abord faire un discours religieux.

La manière d'écouter , d’encourager, de respecter, de pardonner et d’être attentif aux plus faibles peut être Parole de Dieu pour nos enfants.

Les enfants veulent entendre dire comment la foi aide à vivre, comment elle peut rendre plus solide dans la vie et plus ouvert aux autres. Ils veulent savoir si l'on peut être heureux de croire, même si l'on tâtonne parfois.

 

-Est-ce que nous osons dire en famille ce qui nous fait vivre, les joies, les difficultés que nous rencontrons, les

réconciliations vécues comme celles qui nous restent à vivre?

-Tous ensemble, nous pouvons confier au Seigneur nos joies, et nos espérances.

-Nous pouvons aussi apprendre à nous confier les uns aux autres dans la prière.

 

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GRANDIR EN FAMILLE DANS LA CONFIANCE ET LA LIBERTÉ:

 

Enfants comme parents, nous avons tous à grandir , les uns par rapport aux autres, les uns avec les autres, dans la

confiance et la liberté.

Cette question se pose particulièrement envers nos adolescents souvent partagés entre des sentiments contradictoires. Attaché à sa famille, l'adolescent veut cependant prendre de la distance avec elle.

Il veut être compris mais pas trop. Parfois agressif, il a aussi besoin de se blottir dans les bras de ses parents.

 

-Comment vivons-nous ces changements d'attitude?

Est-ce que nous pouvons dire les peurs qu'ils font naître ou ravivent en nous?

-Est-ce que nous sommes prêts à changer notre regard sur lui, et à lui laisser la liberté de devenir lui-même?

 

L'amour parental devient nocif quand il envahit l' espace intérieur du jeune sans respecter ses choix et ses

tâtonnements. Les parents ne doivent pas pour autant s'effacer et disparaître.

-Pour trouver la bonne distance avec lui, nous pouvons le confier au Seigneur, prier pour lui, rendre grâces

pour ce qu'il est, et l'accompagner avec amour et vigilance.

pour la méditation

-"Proposer la foi dans la société actuelle" (1996)

-Joseph Moingt : "La transmission de la foi"

-Jean-Paul II : "Les tâches de la famille chrétienne", N°17

-Matthieu, 21, 22

-Romains, 8, 14

-Jean 1, 12

-Luc 11, 13

-1Pierre, 4, 10

 

(HAUT DE PAGE)

FAMILLE ET CONFLITS

Dans notre vie de famille, nous aspirons à l'harmonie...

et pourtant, là comme ailleurs, là parfois plus qu'ailleurs, nous vivons des conflits.

Caen et Abel, Joseph et ses frères, la parabole du fils prodigue en sont dans la Bible l'illustrent.

 

COMPRENDRE ET PRÉVENIR LES CONFLITS

 

De manière générale, comment est-ce que je ressens les conflits ?

-Je recherche le conflit: il me libère de mes tensions?

-J'ai peur du conflit: je le fuis systématiquement ?

-Je ne peux supporter l'idée qu'il y ait conflit dans ma famille ?

 

En fonction de nos caractères, de notre vécu d'enfant, les conflits peuvent être ressentis très différemment: occasion

de modifier notre manière de faire pour un mieux être pour certains, synonyme d'échec pour les autres, ou rappel

douloureux des disputes subies dans l' enfance...

 

Sur quels terrains se portent dans notre vie les conflits ?

-Dans notre couple ? Avec nos enfants ? Entre nos enfants ?

-Sur l'éducation de nos enfants, la gestion de notre budget, l'utilisation de notre temps, notamment dans le rapport vie professionnelle-vie de famille, notre relation avec nos belles-familles, les irréductibles défauts de notre conjoint ou de nos enfants, le partage des tâches familiales ?

 

Comme dans toute vie communautaire, les sujets d'exaspération et de conflit d'intérêts ne manquent pas et nous buttons sur les mêmes écueils. Nous pouvons partager en famille, avec notre conjoint, sur les lieux de conflit dans notre famille, sur notre manière personnelle de vivre le conflit (Mac. 18, 15 à 17).

 

Mais est-ce que nous prenons régulièrement un temps ensemble pour parler de notre vie hors des périodes de

conflit ? De nos choix, de nos attentes ?

N'éviterions-nous pas certains conflits si nous abordions avec notre conjoint, nos enfants, certains choix qui, au-delà de notre personne, engagent notre sphère familiale: la place donnée à nos engagements, à notre travail, l'utilisation du

territoire familial...

 

Avons-nous conscience de notre différence de réaction en tant qu' homme ou femme, personnalité impulsive, ou

plutôt intériorisée, enfant ou adulte ?

Est-ce que je me remets en question en laissant un doute s'introduire en moi ? Est-ce que je me mets à la place de

l'autre ? Est-ce que je regarde ma "poutre", avant de voir sa paille ?

 

Choisir son heure et ses mots non seulement en fonction de soi mais de notre interlocuteur, prendre en compte la sensibilité des membres de notre famille peut permettre d'éviter qu'un sujet de désaccord ne dégénère en dispute.

 

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VIVRE LE CONFLIT

 

Dans la vie familiale, si la crise est un moment de bouleversement profond, elle est aussi une occasion de remaniement ou de transformation qui peut être féconde.

 

LES CRISES NORMALES DE LA VIE :

 

Avons-nous suffisamment conscience d'être soumis comme tous les autres couples aux inévitables phases de crise-

croissance ?

-Prise d'autonomie du jeune couple par rapport aux belles-familles.

-Découverte des défauts de l'aimé, et période de deuil du mari ou de la femme " idéal " .

-Arrivée de l t enfant, et découverte de mon conjoint en tant que parent; il n'est pas toujours le père ou la

mère que j'imaginais.

-Usure du sentiment amoureux qui pourrait nous donner envie de revivre ailleurs un nouveau coup de

foudre.

-L'adolescence des enfants, qui peut nous user et nous diviser, puis leur départ qui nous laisse de nouveau en tête-à-tête.

-Crise de la ménopause et du départ en retraite, du déclin physique et parfois de la prise en charge du

conjoint diminué.

Enfants et parents: quelques pistes de réflexion.

"

EfbJ. ,

-n ants, o elssez en tout a vos parents; parents

n'exaspérez pas vos enfants"... (Eph., 6, 1-4).

 

-Ma peur de la rupture avec mon ado ne me fait-elle pas tout accepter ?

-Mon attitude quotidienne ne pousse-t-elle pas insidieusement mon enfant à entrer en conflit ?

-Si j'élève seul mon enfant, ai-je un lieu d'aide ou d'écoute pour prendre de la distance dans les conflits

où je me sens enfermé ?

-Comment nos autres enfants vivent-ils les conflits incessants qui nous opposent à leur frère ou soeur ?

 

Nous pouvons prendre du temps pour lire ensemble ou seul quelques bons ouvrages sur ces thèmes, qui nous aideront à relativiser et comprendre.

L'expérience des aînés ou des autres familles peut aussi beaucoup nous aider. Privilégions l'échange, non sur le mode de la lamentation ou de l'administration de recettes ou de leçons mais dans un authentique partage de notre vie.

 

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LES ÉVÉNEMENTS NON OBLIGATOIRES :

 

Dans notre vie, nous pouvons rencontrer des événements difficiles qui nous déstabilisent :

-Maladie ou décès d'un enfant, stérilité, chômage, grossesse inattendue, manque d'harmonie sexuelle :

une souffrance, une angoisse commune peuvent rapprocher, mais aussi éloigner, chacun souffrant différemment; la tentation peut être forte de penser que l'autre souffre moins, qu'il est indifférent.

-Infidélité, violence, alcoolisme, souffrance psychique: l'autre peut devenir un adversaire.

 

Dans cette souffrance, nous sommes en révolte spirituelle:

plusieurs mouvements ou communautés axent leur mission sur l'accompagnement spirituel des personnes confrontées à une crise de couple, à la maladie psychique et proposent des temps de retraite, de partage ou de prière qui nous aideront à tenir et avancer. La peur du jugement des autres ou de leur incompréhension nous isole, les conflits à répétition ou le sentiment d'être piégé dans une situation sans issue usent et fragilisent, conduisent à la rupture:

des lieux d'aide et d I écoute existent, pensons à y recourir ou à y adresser nos proches. Par son expérience et sa neutralité, un conseiller conjugal, un psychologue est souvent plus apte que nos proches à nous aider à comprendre en profondeur et à prendre de la distance.

 

PARDONNER ET DEMANDER PARDON : "

 

Pardonner et demander pardon, c'est donner une nouvelle chance à l'amour.

-Savons nous dire ce qui est atteint en nous, comprendre ce que nous avons blessé chez l'autre et en demander pardon ?

-Quand nous pardonnons, est-ce " pour de bon" ou revenons-nous à la moindre occasion sur la faute passée ?

Quand le conflit a tout cassé, le pardon que nous donnons à l'autre mais aussi celui qu'il nous donne, nous permettent de continuer à vivre et à grandir.

Après un divorce, les conflits se perpétueront sur les questions matérielles, financières ou concernant nos enfants si nous ne sommes pas parvenus à cette guérison intérieure du pardon.

Parfois, pour pouvoir pardonner, il faut accepter d'être aidé dans un long cheminement spirituel et mûrir un pardon qui

sera donné et reçu en profondeur .

Sachons aussi attendre dans la patience le pardon en donnant à l'autre le temps de "digérer".

Ne restons pas seul dans notre incapacité à pardonner: là encore, un accompagnement spirituel après -.

une infidélité, un abandon, une rupture conjugale, peut faire - disparaître cette rancœur qui nous bloque.

 

 

pour la méditation

-+ Osée; Isaïe 54, 6; Luc 6, 3...

-+ Michèle Guy: "le couple et son histoire: se transformer pour aimer" ( cerf 1997).

-+ Père Denis Sonet: "Réussir notre couple" (Droguet- ardant 1991)

-+ F. Lelord et Ch .André: "Comment gérer les personnalités difficiles" ( éd. Odile Jacob )

 

prière des familles

 

Tu as voulu pour ton Fils, le Verbe incarné, une famille dans laquelle il puisse naître et s'épanouir dans un climat d'amour .

A notre tour, tu nous donnes la Sainte famille pour modèle et pour protectrice de nos foyers.

 

Nous te consacrons aujourd'hui notre foyer ;

afin que la paix et la joie qui en découlent, rayonnent sur nos enfants, et sur ceux qui les approchent,

afin que, comme la Sainte famille de Jésus, de Marie et de Joseph,

nous remplissions pleinement notre mission auprès de ceux qui nous sont confiés

et q'ainsi, Ton Nom soit sanctifié dans nos vies et dans nos familles,

O Toi, Dieu notre Père, qui veux notre bonheur avec Toi,

maintenant et pour l'éternité des éternités.

Amen.

 

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pour l'utilisation de ce texte

 

Lisez et travaillez une ou plusieurs fiches de votre choix, seul ou mieux, en groupe.

Envoyez vos réflexions au

 

Conseil Pastoral Diocésain

14 place du colonel Edon

13284 -Marseille Cedex 07

 

ou à   annee.famille@wanadoo.fr

 

 

en précisant :

-Avec qui avons-vous réfléchi ?

-Qu'aimerions-vous partager avec les chrétiens du diocèse ?

-A votre avis, quelles initiatives l'Église devrait-elle prendre pour encourager les mariages et les familles ?

 

Par avance merci pour votre participation à notre réflexion.

 

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